Accueil Navigation
Accueil > Le projet > Evolution du projet

Evolution du projet

La Croix de Mille-Tanusen mai 2013

Historique

La progression du projet

L’importance et la dimension prioritaire du projet de réaménagement de la RN 88 ont été continuellement réaffirmées depuis 1993, ainsi que l’engagement des partenaires, Etat et acteurs locaux, à le faire aboutir.

Parmi les grandes étapes du projet, on peut retenir :

  • Juillet et décembre 1993 : adoption du projet par le comité interministériel d’aménagement du territoire (CIADT)
  • Décembre 2003 : intégration de l’axe Toulouse-Lyon dans les 50 grands projets d’aménagement du territoire à l’horizon 2025 (CIADT de Mende)
  • Décembre 2006 : inscription de l’axe Toulouse-Lyon dans les projets retenus suite au débat public sur les enjeux de la mobilité dans la vallée du Rhône et l’arc Languedocien
  • Mars 2007 : signature de la charte pour le développement durable des territoires concernés par l’aménagement de la RN 88 entre l’Etat et le Syndicat
  • Octobre 2007 : approbation par décision ministérielle d’un fuseau de 300 m entre l’A 75 et le Puy-en-Velay
Les perspectives

Les objectifs actuels

En dépit de la volonté des acteurs du projet, la réalisation de l’axe Toulouse-Lyon progresse lentement. Le Syndicat et ses partenaires recherchent des solutions innovantes pour accélérer la modernisation de la RN 88.

20 ans après l’adoption du projet de réaménagement en route express de la RN 88, seuls 90 km, soit environ 45 % de la liaison Toulouse-Firminy, ont été transformés en 2X2 voies.

Afin d’accélérer le rythme de réaménagement de cet axe vital, le syndicat s’est fixé trois objectifs :

  • mettre en œuvre une amélioration coordonnée de la voirie actuelle (contournement des villages, amélioration de l’entretien et de la maintenance, aménagement de zones de dépassement…) ;
  • optimiser le coût du projet par une adaptation des exigences habituelles d’une route express aux contraintes topographiques de la région (par exemple : des pentes plus élevées sur certaines sections avec des vitesses limitée à 90 km/h) ;
  • explorer des modes de financements permettant davantage de souplesse et de rapidité dans leur mise en œuvre : concession, partenariat public-privé.